NOM Catelini + PRÉNOM Luisa  + ÂGE 26 ans + PROFESSION Photographe + STATUT CIVIL Célibataire + NATIONALITÉ Italienne + ORIENTATION SEXUELLE Hétérosexuelle + GROUPE Kangouroo + CÉLÉBRITÉ Felicity Jones

ma vie est passionnante

Pleine d’énergie, il est dur de me faire asseoir pour se reposer. Toujours partante, il est dur de m’arrêter quand je suis déjà loin. Têtue, il est dur de me faire changer d’avis quand je suis persuadé. Folle, il est dur de me faire passer comme quelqu’un de normal. Excentrique, il est dur de me faire entrer dans la norme. Gamine, il est dur de me confier des responsabilités. Manipulatrice, il est dur de me faire agir autrement. Douce, il est dur de me trouver méchante. Egoïste, il est dur de me prendre quelque chose si je n’en ai pas décidé. Rigolote, il est dur de se retenir de rire quand on est à côté de moi. Maline, il est dur de me berner. Rancunière, il est dur que je parvienne à pardonner.

Lis toujours quelques pages avant de dormir ~ Mets deux ans pour choisir ses affaires le matin ~ Prend un malin plaisir à draguer puis à s’arrêter juste avant ~ Croise toujours ses bras et plisse son nez pour faire la gamine pas contente ~ Footing très tôt le matin et se recouche ensuite ~ Fais partie du club des 3F (Fétarde, Flemmarde et Fière) ~

vos passeports s'il vous plaît

pseudo + Saya âge + on s'en fichtre fréquence de connexion + tous les jours pays +France comment avez-vous connu le forum ? + C'est mes potos qui l'ont crée ! une remarque, un dernier mot ? +   

« Il était une fois… » Maman me racontait beaucoup d’histoires commençant par cette phrase, ça signifiait quelque chose de beau, de fantastique pour moi ; c’était un peu le cas, non ? Enfant, ma vie était parfaite : j’avais tout et n’avais besoin de rien. On vivait dans une caravane, on allait à gauche, à droite ; on faisait ce qu’on voulait : on était libres. C’était essentiel pour moi : petite fille rêvant d’aventures, de liberté, de joie. Mon grand-frère me faisait les cours à la maison pour que je puisse continuer mon apprentissage tout en m’amusant. On s’arrêtait souvent dans les bois où je pouvais courir comme une folle, cueillir les fleurs pendant que les autres faisaient autre chose. Au fil des années, la caravane se fit vieille, les routes étaient faites et refaites, mon frère rêvait d’études et l’amour entre papa et maman s’éteignait. Ils finirent par se séparer et mon aîné partit en ville avec mon père, ma mère prit une décision pour nous deux : quitter l’Italie pour un autre continent, un autre pays. Elle voulait reprendre sa liberté à travers de nouveaux horizons et l’Australie lui semblait le plus convainquant. Elle avait toujours ce regard avec cette lueur d’enfant, d’amusement : ces années passaient avec elle à faire le tour des villes, des forêts, des déserts m’avaient juste délivré et j’étais plus qu’heureuse. Malheureusement, ça ne dura pas, le travail de maman ne lui permettait plus de payer l’essence et l’entretien de la caravane, elle du se résoudre à la vendre et à nous trouver un petit appartement. Je commençais, à seize ans, l’école pour la toute première fois et il me fallut beaucoup de concentration pour arriver à suivre sans perturber les autres : j’avais l’habitude de travailler mon français en haut d’un arbre, mes maths les pieds dans un ruisseau et mon anglais sur l’herbe mais la suite de mon intégrité se fut plus facile : les gens se demandaient beaucoup pourquoi je n’étais jamais allé à l’école, ça les étonnaient et on voulait rapidement rester avec moi. Après mes dix-huit ans, un professeur d’une fac de photographie avait vu mes nombreuses photos et avait adoré : il m’avait permis de gagner une bourse dans cette faculté grâce à son statu. Cela tombait à pic pour moi : moi qui rêvais de partir, ma mère qui n’aurait plus à s’inquiéter pour moi et les nombreuses économies qu’elle fera. Ces années d’études m’apportaient beaucoup dans ma vie : amis, sorties, bons résultats : une vie pleine de rebondissements toujours positifs. A vingt-trois ans, j’avais fini mon cursus et je pouvais commencer ma carrière. Pour bien commencer, j’avais décidé de partir de Melbourne et de m’installer en ville, à Canberra, pour ouvrir une agence, être à mes dépens, être ma patronne : c’était ce que je souhaitais le plus et c’était le moins stressant pour moi. Côté cœur, ça fonctionnait aussi mais pas durablement : je ne cherchais pas quelque chose de sérieux… Je ne pouvais pour l’instant me passer de sorties entre amis, de rencontres d’un soir et de fêtes improvisées. Aujourd’hui, à vingt-six ans, j’ai la vie que j’ai rêvée d’avoir.

Bravo, tu es validé(e) ! Te voilà enfin habitant à part entière de Canberra. En attendant de rp, tu devrais passer par la réservation des avatars si tu ne veux pas qu'on te pique. Si tu veux pas finir à la rue, faudrait aussi envisager d'aller s'acheter une maison ici. Et comme c'est nul de vivre reclu, bah tu peux te faire des amis là. Et comme dans la vie, on a toujours quelqu'un qu'il nous faut absolument, il y a les scénarios !

Si tu as des questions (ou que tu veux juste passer du bon temps), tu peux contacter Chris ou Alaska, ils seront là pour te répondre ! Même si c'est une question débile.